Pour mieux vivre sa vie
professionnelle et personnelle

Surcharge de travail exceptionnelle

Comment faire face à une surcharge de travail exceptionnelle ?
  1. Mettez-vous à la place d’un jeune étudiant sur le point de passer un concours d’entrée dans une grande école.Prévoyez des journées de 12 à 15 heures de travail, 6 jours sur 7. Réduisez votre temps de sommeil en fonction de votre rythme, même si vous êtes un grand dormeur. Vous récupèrerez lorsque vous serez sorti de cette période. L’important est de vous coucher aux heures habituelles ; mais de vous réveiller plus tôt que d’habitude : les dernières heures (phase de sommeil superficiel) ne sont pas les plus réparatrices.
  2. Il s’agit de vous isoler pour travailler sans être dérangé par le bruit ou par des personnes. Prenez vos dispositions dans votre entourage professionnel et personnel (quitte à mettre une affichette sur votre porte do not disturb. Avertissez-les qu’exceptionnellement vous ne serez pas disponible pour eux. Il est important qu’ils sachent pourquoi.
  3. Quand vous sentez la fatigue arriver, le sommeil vous prendre, que vous n’êtes plus capable de réfléchir : faites quelques exercices physiques. Aucun travail le dimanche, mais privilégiez les sorties en famille, les contacts extérieurs ; ne parlez pas de travail.
    Faites du sport, nature, promenades dans un parc ou marche dans les rues. Respirez à fond. Pas de travail intellectuel, détendez-vous !
  4. Efforcez-vous d’annuler tous vos rendez-vous quand cela est possible. Ne faites que le minimum incontournable. Différez si possible les affaires difficiles à traiter.
  5. Félicitez-vous, récompensez-vous au fur et à mesure que vous atteignez vos objectifs dans les délais que vous vous êtes fixés, en vous remémorant ce que vous venez d’accomplir.

2Vos témoignages

Quand j’étais étudiante, dans les périodes de surcharge, il m’arrivait de travailler debout pour ne pas m’endormir. A l’époque, il suffisait de remonter la table à dessin. On n’en voit plus guère aujourd’hui, mais apparaissent des bureaux à hauteur modulable pour éviter les TMS. C’est une bonne chose.

    Travailler debout ? Bonne idée ; je n’y avais pas pensé. A essayer !
    Mais j’imagine que la fatigue vient plus vite…