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Surmonter le deuil

Comment surmonter la perte d'un être cher ?

Le Seigneur est proche de ceux qui ont le cœur brisé. Psaume 34.19
Aucune solution miracle n’existe pour surmonter vite la perte d’un être cher.
Il faut traverser les différentes étapes du chagrin. Une femme a dit : Je n’aurais jamais imaginé vivre autant d’expériences nouvelles après la perte de mon mari : ma première nuit toute seule, mon premier dimanche toute seule, mon premier anniversaire dans la solitude, mes premières vacances à organiser toute seule. J’ai presque eu envie de continuer sans cesse à travailler. La Bible affirme : Le Seigneur est proche de ceux qui ont le cœur brisé, et grâce au soutien de nos proches et de nos amis, sans oublier le temps qui estompe la douleur, Il guérit peu à peu nos blessures.

En attendant voilà quelques conseils pour vous mettre sur la bonne voie :

Si possible, essayez d’organiser votre avenir.

Au cœur de votre chagrin, ne pensez pas à ce qu’il faut faire ou ne pas faire. Prévoyez quelque chose de spécial pour les dates spéciales comme les anniversaires ou les vacances, sans vous sentir obligé de répéter le passé. Faites ce dont vous avez envie sans vous occuper des préjugés et des traditions.

Laissez votre famille spirituelle vous aider.

N’essayez pas de vous débrouiller tout seul. Demandez à vos amis ou collègues chrétiens de prier pour vous et avec vous. Souvenez-vous que les autres ne découvriront pas toujours ce qu’il vous faut, si vous ne leur dites rien.

Recherchez le soutien divin.

Le chagrin peut s’avérer très éprouvant et risque de vous vider de toute énergie. Demandez à Dieu de vous protéger de ce danger, de vous réconforter quand vous vous sentirez à deux doigts de craquer. La Bible affirme : “Il redonne des forces à celui qui faiblit, Il remplit de vigueur celui qui n’en peut plus… Ceux qui comptent sur le Seigneur reçoivent des forces nouvelles” (Esaïe 40.29-31).

Prenez votre temps.

N’espérez pas trop, tout de suite. Agissez envers vous-même comme vous le feriez avec votre meilleur ami s’il se trouvait, lui-même, dans la peine !